De source proche des services de renseignement et d’investigation (SRI) de la gendarmerie nationale, l’ordre a été donné de retrouver notre confrère Vicentey Ben Polar ou de le faire taire.
Depuis la divulgation des informations qui se sont avérées vraies sur la santé de Faure Gnassingbé, ce dernier furieux a ordonné de traquer les responsables de la fuite. Un ménage drastique a été fait autour du président et lui-même n’est pas allé du dos de la cuillère lors d’un meeting à Kara pour accuser un proche. Cet innocent paie une lourde tribu aujourd’hui pour rien…
Un arsenal de moyens secrets est mis en place pour retrouver, arrêter et torturer à mort notre confrère en vue de remonter la piste de ses sources que Faure Gnassingbé soupçonne être des traitres au tour de lui. Faure Gnassingbé déteste à mort la plume de notre confrère qui ne fait que son travail, celui d’informer objectivement le peuple togolais. C’est la preuve qu’il est un dictateur né, nourri abondamment du lait de l’autocratie. Il ne supporte guère la critique et est très rancunier.
C’est le lieu de lui rappeler que la liberté d’expression est garantie par la Constitution togolaise qu’il est censé de protéger et non de continuellement violer.
Le dossier est très brulant sur la table du capitaine Akapko qui s’est spécialisé dans la traque et l’arrestation des opposants et journalistes qui donnent de l’insomnie à son maître autocrate, Faure Gnassingbé. Le capitaine a mis en alerte maximum toute sa meute et la tête de notre confrère mis à prix, est devenue leur proie à croquer. Des sources bien informées indiquent et conseillent à notre confrère que s’il est au Togo, de ne jamais divulguer son nom de plume à qui que ce soit car les délateurs sont partout et s’il est l’étranger, de ne jamais revenir…
Nous appelons le peuple togolais et la communauté internationale à témoin. Nous lançons un appel pressant et un cri d’alarme à toutes les organisations de défense des droits de l’homme et de la protection de la liberté d’expression pour qu’elles élèvent un bouclier unanime contre le musellement de la presse et de la liberté d’expression au Togo.
L’équipe de rédaction prévient qu’elle ne cédera ni devant les menaces, ni devant les intimidations et qu’elle continuera en toute quiétude à informer objectivement le Peuple togolais.
L’équipe de rédaction
Gnagou Matolaba Djalima
Ampliation
Sos Journaliste en Danger
SYNJIT
Union des Journalistes Indépendants du Togo (UJIT)
Reporters Sans Frontière
Commettee to Protect Journalists (CPJ)
Amesty International
Ligue togolaise des Droits de l’Homme (LTDH)
Rencontre africaine pour la Défense des Droits de l’Homme (RADHO)
Collectif Sauvons le Togo (CST)
Ambassades
Partis politiques